~ YOU CAN LEAVE YOUR HAT ON.

( Don Ripley )
baby i'm praying on you tonight,
hunt you down, eat you alive.
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NOM COMPLET: Tu es né Ripley, un nom comme un autre, que tu t'efforces d'élever. Tes parents t'ont baptisé Donnie, mais tu utilises le diminutif de Don depuis bien longtemps. Celui-ci est suivi de Peter, mais ça t'est un peu égal. AGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE: Tu viens de fêter ton trentième anniversaire. En effet, tu es né un quatre juillet, à Mevagissey, Cornouailles. ORIGINES ET NATIONALITÉ: De nationalité britannique, tu es d'origine anglaise. MÉTIER/ÉTUDES ET NIVEAU D’ÉTUDES: Après des études de droit, tu es devenu avocat. Si tu as commencé en bas de l'échelle, tu es aujourd'hui associé chez Turner & Associates. SITUATION FINANCIÈRE: £££££. STATUT CIVIL: Tu es marié à Juliet Ripley depuis maintenant quatre ans. SITUATION FAMILIALE: Tu es orphelin depuis l'âge de six ans, sans frère ou sœur. TRAITS DE CARACTÈRE: Impulsif ~ fier ~ possessif ~ indépendant ~ sarcastique ~ rancunier ~ opportuniste ~ égoïste ~ secret ~ serviable ~ têtu ~ touche-à-tout ~ débrouillard ~ froid ~ réaliste. AVATAR: Garrett Hedlund. GROUPE: Salvation.

( just a trick of light to bring me back around again )

01 ~ Tu n'as pas été gâté par la vie. Orphelin à l'âge de six ans, à la suite d'un accident ayant pris la vie de tes parents, tu as été élevé par tes grand-parents. Sans avoir connu la pauvreté, tu ne vivais pas dans la richesse. 02 ~ Après avoir entamé des études de droit, tu es devenu avocat. C'est ainsi que tu es devenu cet homme cultivé, mais sans le sou. Avocat commis d'office, tu as retenu de ces années de galère une volonté imprenable, celle de te hisser socialement. 03 ~ Lorsque tu as rencontré Juliet, tu as découvert un autre style de vie. Tu as découvert les boîtes de jazz, les costumes de chez Paul Smith, le whisky à £300 la bouteille. Elle t'a initié, préparé à entrer dans ce monde, avoir ce dont tu as toujours rêvé. 04 ~ Hélas, Juliet ne s'est pas doutée à quel point tu t'es acclimaté dans ce monde. Parce que, tu as tiré profit de toutes les opportunités. Si tu as finalement épouser Juliet, ce n'est pas sans lui causer les pires souffrances. Tu as merdé un nombre incalculable de fois : mensonges, tromperies, larmes et cœur saigné. Pourtant, tu continues, tu ne peux t'en empêcher. Et ce, même si tu la considères comme la femme de ta vie. 05 ~ Tu aimes la vie qui s'offre à toi. Véritable requin dans la profession, tu es craint et respecté. Tu bois du whisky hors-de-prix, portes des costumes de créateurs, conduis une Mercedes. Tu possèdes une maison dans le Dorset, joue au golf avec des chefs d'entreprises. Tu n'as pas à te plaindre, au contraire. 06 ~ Et pourtant, tu as un regret : Gia. Rencontrée six semaines avant ton mariage, tu étais prêt à tout plaquer pour elle. Une passion épineuse, interdite. Tu étais prêt à abandonner tout ce à quoi tu te consacrais depuis trois ans, l’œuvre d'une vie. Tu voulais t'enfuir avec elle, Gia a été la plus raisonnable de vous deux. Si tu sais qu'elle avait raison, tu ne peux t'empêcher d'y repenser, parfois, amèrement. 07 ~ Si Juliet et toi parlez souvent de fonder une famille, tu restes partagé. Tu en as envie, c'est sûr et certain. Mais, tu as clairement la sensation que tu ne seras pas un bon père. Pas dans la mesure où tu ne t'occuperais pas de tes enfants, mais dans la mesure où tu es un mari infidèle et menteur. 08 ~ Hormis ton penchant invétéré pour les costumes de chez Paul Smith, tu aimes porter des polos, notamment lorsque tu joues au golf. On peut également noter qu'il est très fréquent de te voir travailler en bras de chemise, au cabinet.

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PSEUDO/PRÉNOM: .portishead/Océane I love you

ÂGE, PAYS: la majorité, France. CONNEXION: 7/7 ~ YOU CAN LEAVE YOUR HAT ON. 3496043204

VOTRE AVIS SUR LE FORUM: horrible, surtout le staff ~ YOU CAN LEAVE YOUR HAT ON. 878755124

CRÉDITS: ourgarrett.tumblr. AUTRE: ~ YOU CAN LEAVE YOUR HAT ON. 4273197467

( home is where your heart is set in stone )

( THE LETTER )
« Have you seen this woman ? » demandes-tu, montrant une photo d'identité à l'homme au comptoir. Tu es essoufflé, et inquiet. Vous étiez censés vous retrouver ici. Gia et toi. Partir ensemble pour l'Italie. « Yeah, she took the 8.00 AM flight to Atlanta. » Tu te figes. Gia est partie, sans toi. Elle est rentrée chez elle, en Amérique, alors que vous étiez supposés vous enfuir ensemble. Tu demeures impassible, tu as du mal à réaliser que tout s'arrête ici. « An argue ? » te demande alors l'employé de la compagnie. Tu soupires. « Yeah, kinda of it. » Tu passes très certainement pour l'amoureux éploré. Il te remet alors une enveloppe. Tu l'as saisie avec précaution, ne sachant réellement si tu veux connaître son contenu. Pourtant, tu l'ouvres, en sort une lettre. Tu reconnais l'écriture de Gia.

Mon tendre amour,
Comme tu as pu le constater, je suis partie. Je sais, j'ai failli à ma promesse. Mais, ne m'en veux pas. Ce n'est pas ta faute, ce n'est pas la mienne. Ce n'est celle de personne, si ce n'est de la vie.
Je refuse d'être celle pour qui tu sacrifieras tout ce à quoi tu t'es consacré. Ton mariage, c'est la consécration de tout ce que tu as entrepris, je ne veux pas que tu me vomisses des regrets dans quelques années.
Il faut être réaliste, Don. Notre histoire n'a aucune chance à la lumière du jour. Si elle a été si belle, si parfaite, c'était justement parce qu'elle était interdite. Je ne regrette rien, au contraire. Ces six semaines ont été les plus belles années de ma vie, et je veux partir, sachant que je resterai pour toi cette fille téméraire en jupe écossaise.
Ne cherche pas à me retrouver, cela vaudra mieux pour toi comme pour moi. Je ne serai pas celle qui causera le chagrin de Juliet. Ne lui cause pas de peine à cause de notre passion, elle est ce dont tu as réellement besoin.
De tout mon cœur,
Gia.

( THE EARRING )
« Juliet, to what do I deserve this honour ? » demandes-tu d'un ton doux, toutefois étonné. Tu ne t'attendais pas à la trouver ici. Pourtant, tu essaies de cacher ton étonnement, celui de la trouver face à toi, sachant qu'elle a fait tout ce chemin pour te voir. De Swansea à Portsmouth, il y a quatre heures de route. Tu n'as pas le temps de poursuivre, que tu reçois une gifle. Vive, douloureuse. Tu ne souries plus, la fureur de Juliet se lit sur son visage. « Are you mad ? » t'exclames-tu, grimaçant. Cela t'éclaire davantage sur les motivations de ton épouse à faire toute cette route, alors que tu te trouves en voyage d'affaires. « What's her name ? » Tu écarquilles les yeux. Tu as bien une idée de quoi elle parle, mais tu préfères feindre le contraire. Une femme, c'est sûr. Une femme avec qui tu as couché, c'est certain. Mais, tu ne saurais dire laquelle, et même si tu le savais, tu ne dirais rien. « I don't understand. » Tu la vois sortir quelque chose de son sac à main. « It should help you to refresh your memory. What's her name ? I won't repeat my question again. » Tu reconnais la boucle d'oreille qu'elle agite sous ton nez. C'est celle de Margaret, ta secrétaire. Tu te souviens parfaitement de la scène, désormais. Des avances que tu lui as faîtes, la façon dont tout s'est terminé sur ton bureau. Tu te sens honteux. Mais, ça, Juliet l'ignore. Tout ce qu'elle a, c'est une boucle d'oreille. « I don't know how it happened. » Tu ne peux t'empêcher de mentir. Tu es incapable de lui dire la vérité, d'assumer tes erreurs. Tu es très certainement tordu. « You, liar. » Tu peux sentir la voix de Juliet siffler, comme le serpent. Tu t'enfonces un peu plus dans le déni, te demandant si cette fois encore, ton épouse acceptera tes explications. Tu sais qu'elle a parfaitement conscience que tu as pu lui mentir, que tu lui mentiras encore. Et, à chaque fois, tu lui demandes de te croire, de te faire conscience. Lorsque Juliet abdique, tu ne sais si ce n'est grâce à tes capacités de menteur pathologique ou sa lassitude. « Juliet, I love you. Enough to be honest with you. I haven't sleep with another woman, believe me. » Tu l'attires vers toi, l'attrapant par la main. Ainsi, tu réduis la distance qui vous oppose, exerçant une légère pression sur ses doigts. Tu as horreur de ces discussions, de cet enchaînement. Et pourtant, cela ne dépend que de toi. « How can I believe you ? » Tu passes ta main dans ses cheveux, remettant une mèche rebelle en arrière. Elle est si belle, Juliet. Et, elle ne mérite certainement pas la façon dont tu la traites. Tu passes ton temps à trahir tes promesses. « Just trust me. » Tu embrasses son front. Un baiser platonique, qui se veut rassurant.