just wanna have fun (roma)

( romaella kennedy )
don't you want me baby.
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NOM COMPLET: romaella, c'est son vrai prénom, mais elle le déteste, alors préfère s'appeler roma, comme la ville italienne. selia, une amie très proche de sa mère, sa marraine. kennedy, nom de famille, parfois simple et parfois dur à porter. AGE, DATE ET LIEU DE NAISSANCE: le premier avril à paris, vingt huit ans. ORIGINES ET NATIONALITÉ: origine franco-irlandaise et nationalité galloise. MÉTIER/ÉTUDES ET NIVEAU D’ÉTUDES: directrice d'une ligne de vêtements.SITUATION FINANCIÈRE: plutôt aisée STATUT CIVIL: célibataire SITUATION FAMILIALE: cadette d'une famille de quatre enfants, d'un père absent et d'une mère décédée il y a quatre ans. TRAITS DE CARACTÈRE: ambitieuse, séductrice, en quête de liberté, maligne, bornée, fière, perfectionniste, impulsive. AVATAR: dianna my love agron. GROUPE: evaporate.

( just a trick of light to bring me back around again )

elle est asthmatique depuis l'âge de sept ans ♡ roma est indépendante, riche de sa liberté ♡ elle a toujours aimé coudre, assembler les tissus ♡ fume et boit, même si elle sait que c'est pas bon pour elle ♡ elle a eu une relation avec un homme qui la battait ♡ elle a une cicatrice de cette relation sur la hanche ♡ elle a plusieurs tatouage dont un sur la côte et sur le doigt ♡ ne jure que par le lait au miel ♡ a monté sa boutique de vêtement il y a trois ans et est aujourd'hui la plus grande boutique de la ville ♡ a perdu sa mère, eileen kennedy, dans un accident de voiture, il y a quatre ans, dans lequel, il y avait aussi son frère, paul ♡

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PSEUDO/PRÉNOM: floutchyhot/léa. ÂGE, PAYS: dix sept ans, france CONNEXION: le week end et les vacances. VOTRE AVIS SUR LE FORUM: bandant. CRÉDITS:tumblr. AUTRE: the kennedy's are going to kick your ass.

( home is where your heart is set in stone )

♡ la petite robe bleue
« Roma, ma belle, viens mettre ta petite robe bleue. » et la petite blondinette du haut de ses quatre ans accourait jusqu'à eileen, pour enfiler ce petit bout de tissu, qui la couvrait jusqu'au bas des genoux. eileen, ma mère, une très belle femme, qui n'avait pas eu la vie facile, un mari absent, quatre enfants à élever. mais elle avait toujours eu ce sourire, qui vieillissait, mais qui n'avait pas réduit. elle aimait la vie, les gens, c'était elle qui réglait tous les problèmes à la maison. c'est aussi elle qui m'a donné le goût du tissu et du vêtement. la petite robe bleue, c'était elle qui l'avait entièrement cousue, pas par manque d'argent, mais parce que pour sa première fille, elle voulait la faire elle même. la petite robe bleue, c'est le nom du magasin que je tiens, en hommage à ma défunte mère. la petite robe bleue est pliée soigneusement, dans mon placard.

♡ une cigarette
c'est pas n'importe quelle cigarette. déjà, elle est toute marron et très grande. l'histoire est toute simple. « Blondie, on s'rejoint derrière le buisson boule à la fin des cours. » je me retournai, souris, il souleva ses lunettes, me fis un clin d'oeil. c'était notre rendez-vous après les cours, tous les soirs, derrière ce fameux buisson. c'est alors que je l'ai rejoint. il était assis dans l'herbe sèche, son sac à côté de lui et un paquet de cigarettes. « C'est des nouvelles ? » il rit, tandis que je m'asseyais à côté de lui. il m'en tendit une. « Ouais, mais elles sont spéciales. » je souris. notre relation était amicale, même si nous étions très tactiles. la cigarette date de ce jour et surtout la suite. je hochai la tête. « Elles ont coûté très cher. » je ris et l'allumai. l'argent, pour lui, c'était important et il y faisait attention, pour le peu qu'il avait. si elles étaient chères, c'est que le moment était cher aussi. il me regarda, je tirai sur la cigarette et m'approchai de lui pour lui cracher la fumée à la tête. puis je ris , il suffoqua. « Tu sais très bien que je déteste quand tu fais ça. » je ris et lui frappai la jambe. il tira à son tour sur la sienne et vint me la cracher à la tête, je ris. mais il ne repartit pas à sa place initiale et colla ses lèvres aux mienne. on s'enlaça quelques secondes, puis, on se coucha ensemble, l'un contre l'autre. « C'est pour ça qu'elles sont spéciales ces cigarettes, c'est parce qu'elles signifient, ton amour pour moi depuis des années. » il rit et acquiesca de la tête.

♡ une cicatrice sur la hanche
c'était un bel homme, il disais qu'il m'aimait, et puis, quand il rentrait du travail, il buvait un coup, puis deux coup, puis trois coup, et finissait la bouteille. il continuait de dire qu'il m'aimait, et qu'il m'aimait très fort, trop fort. je pensais aussi que je l'aimais, et c'est aussi pour ça que je restais avec lui, parce qu'il m'avais promis qu'il arrêterait. j'étais aveugle et naïve, et il continuait, et je restais. je ne pouvais plus faire un geste sans avoir mal, dès que je découvrais une petite partie de mon corps on me demandait qu'est-ce que c'était cette trace rouge et bleue. et puis, mon amour pour lui s'estompait, mais j'étais encore attachée. puis un jour, alors qu'il était rentré totalement sobre. « Lâche-moi ! Dean, lâche-moi s'il te plait, je t'en supplie. » il me tenait la main, et embrassait mon cou. mes mains sur son torse, je tentai de le retenir. « Quoi ... t'as pas envie de moi ? » il me porta et me mis sur la commode, releva ma robe. non, je n'avais pas envie, pour la violence qu'il mettait, cette violence dont javais peur, et puis, le fait qu'il ne me regardais jamais, à part, pour me sauter aux quatre coins de notre appartement. il insistait encore « Non, j'ai pas envie de toi, merde, tu pues le vieu beauf', qui ne regarde même plus ça copine qu'il prétend chérir de tout son coeur devant ses potes au bide déjà énorme, rempli de bière, et le crane dégarni ! » il me regarda, puis me poussa, me pris par le cou et me balança par terre, j'étais terrifiée, mais j'étais habituée. puis, je me relevai, tentant de me défendre, pour la première fois et il me jeta encore contre la commode, tellement fort que ma hanche claqua et je tombai, il continua à me frapper, jusqu'à ce que son téléphone sonna. et je me retrouvai au urgences, la hanche bien endommagée; ainsi que la tête. lui est passé devant un tribunal, dans le secret total, pour que personne ne sache, j'avais honte de ce que j'avais fait, de l'amour et la patience que j'avais put lui donner.